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25/10/2025 / Temps de lecture : 2min

Pourquoi l’authenticité est la clé d’une collaboration artistique réussie

Il y a deux types de collaborations.

Celles qui “font du bruit” deux jours et disparaissent de la tête des gens et des écrans. Et celles qui installent une idée juste, que le public va retenir et s’approprier. La différence tient à un mot galvaudé mais simple : l’authenticité.

On ne parle pas de posture, mais d’un alignement réel entre ce que la marque est, ce que l’artiste raconte, et ce que le public vit lorsqu’il rencontre le résultat.

Chez Studio Artera, on voit tous les jours que l’authenticité n’est pas un “supplément d’âme” : c’est la condition d’existence d’une collab. Sans elle, on produit des images. Avec elle, on fabrique une preuve,  visible, compréhensible et partageable, qui crée de la confiance.

1) L’authenticité commence par un manque formulé clairement

Une collaboration n’a pas vocation à “faire joli”. Elle répond à un manque précis : doute sur la façon de parler de ses idées, manque d’attention sur l’ADN de la marque, envie d’ouvrir à de nouvelles communautés etc.

Mettez ce manque en une phrase simple. Si vous n’y arrivez pas, vous n’avez pas d’histoire à raconter.
C’est notre point de départ chez Studio Artera : un cadrage franc, sans euphémisme ni storytelling cosmétique.

2) Choisir un·e artiste pour sa voix, pas pour sa cote

L’authenticité, c’est la rencontre d’une promesse et d’une voix. On ne “commande” pas un style, on invite une vision qui sait déjà dire ce que la marque veut rendre visible.

Notre grille est volontairement terre-à-terre : l’artiste choisi·e doit pouvoir exprimer la promesse dans la vraie vie (formats, lieux, contraintes) sans travestir son langage. Si l’on doit tordre le travail de l’artiste pour rentrer dans le cadre, la rencontre est mauvaise, et le public s’en apercevra en une fraction de seconde.

3) Une histoire qui tient sans mode d’emploi

Un récit authentique tient en trois temps :

- La tension : la problématique pour vos audiences

- La rencontre : pourquoi cette voix artistique éclaire ce sujet mieux qu’une autre.

- La preuve : ce que chacun peut constater, sans texte au kilomètre.

Tout ce qui n’aide pas à montrer cette preuve s’enlève : on garde la ligne claire, on coupe les ornements.

4) Respecter les personnes, les lieux et les codes convoqués

Rien ne sonne plus faux qu’une collab qui emprunte à une communauté sans la regarder en face. L’authenticité implique de donner la parole à celles et ceux qui sont concernés, de citer correctement, d’obtenir les autorisations, de créditer l’artiste et les contributeurs. La marque n’achète pas un silence : elle partage une scène.

5) Laisser des prises au public

Plus il y a de partis pris honnêtes, plus l’histoire voyage sans se dénaturer auprès de vos audiences. Les bonnes collabs génèrent du contenu organique non sollicité : pas parce qu’on l’a demandé, mais parce qu’on a donné matière à s’exprimer.

Ce que gagne la marque quand c’est vrai :

- Clarté : on comprend en quoi la marque est différente.

- Crédit : la confiance grimpe, la tolérance à l’erreur aussi.

- Efficacité : moins de médias payants pour atteindre le même résultat, davantage d’organique de qualité.

- Durée : des signes réutilisables, une relation qui se construit.

👉 Pour en savoir plus sur nos collaborations ou échanger avec l'équipe de Studio Artera, c'est par ici

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